Filtrer
Philippe Tome
-
Tout a commencé dans le métro new-yorkais quand un quidam a glissé à l'oreille de Mary, la mère de Soda, un inquiétant : « Ces jours-ci, ne prenez surtout pas le métro ! » En partant sur la piste de ce pseudo-terroriste, Soda est tombé sur Pronzini, son ancien chef, officiellement mort dans l'effondrement des Tours, officieusement recyclé en tueur à la solde du « Réseau », un organisme plus ou moins étatique mouillé dans les attentats du 11-Septembre.
Alors que Demoradshield, la nouvelle patronne de Soda, soupçonne Pronzini d'avoir fait des révélations sur le 11-Septembre, Soda n'a qu'une seule priorité : retrouver Trash, un redoutable « nettoyeur » à la solde du Réseau et qui a déjà failli tuer Mary. Et le neutraliser... ou mieux : le retourner contre ses commanditaires !
Dans ce passionnant thriller, Tome et Dan nous racontent le 11-Septembre sous un jour inédit entre manipulations étatiques, répétitions d'attentats et services secrets échappant à tout contrôle. -
Comme chaque année, ignorant toujours le vrai métier de son fils, Mary Solomon réclame une simple rose pour son anniversaire, mais pas n'importe laquelle : une de ces délicates roses blanches que son ami fleuriste vend désormais à la sauvette dans une proche station de métro.
Mère et fils arrivent ensemble sur place, mais tandis que le "pasteur" Soda négocie avec le vieux vendeur l'achat de tout son stock de roses, Mary a l'attention attirée par un personnage sombre, à la physionomie vaguement orientale, porteur d'un sac à dos. -
Pour Soda, la journée avait plutôt mal commencé...
Ce fichu rêve, d'abord. L'ascenseur, ensuite. En panne. Et son pistolet oublié sur le réfrigérateur ? Il s'en était fallu de peu que sa mère le découvrît, au prix sans doute d'un bel infarctus. Surtout ne pas apprendre que son rejeton est un flic. Elle croit toujours, la pauvre, qu'il est pasteur. Enfin, il y eut la course-poursuite, à cause de ce gros tas de Jason Flea qui s'est fait la malle. Résultat : il s'est retrouvé dans la vitrine accueillante d'un magasin de confection. Un choc, terrible. Plus de peur que de mal, mais cette question qui le taraude depuis : "Qui suis-je vraiment ?" Dieu seul le sait. -
Quand on exerce le métier de flic, comme Soda, il est normal de se faire des ennemis. Mais lorsqu'il s'agit d'un des plus gros chefs de la mafia, le flic le plus vertueux de New York risque gros. Très gros. Aussi gros que la tête de sa mère. Car voilà que sur Internet, un contrat est lancé : tuer la douce maman de Soda. Une armada de tueurs à gages est lancée à ses trousses. Elle qui est cardiaque et qui ignore tout de la double vie de son fils risque bien de ne pas survivre à cet album.
-
Pour une fois que Soda sort de sa juridiction, il ne va pas tarder à le regretter !
En bon fils, il accompagne sa maman pour quelques jours de vacances dans sa ville natale et s'embarque pour Providence, Arizona. Mais quand on est flic (même déguisé en pasteur pour ne pas effrayer sa mère), les ennuis ne tardent pas à rappliquer : le moindre voyage en bus se transforme en chevauchée fantastique. Et à l'arrivée, il doit encore affronter l'hostilité des autochtones. Car ce retour au pays n'est pas du goût de tout le monde. Surtout quand Soda commence à se pencher de plus près sur les circonstances mystérieuses de la mort de son père. Et que sa double identité est en passe d'être dévoilée. Après tout ça, (et s'il s'en sort), New York risque de lui paraître bien calme... -
New York en a connu des courses poursuites dans ses rues, mais jamais en corbillard ! C'est ainsi qu'on fait la connaissance de Soda, flic dans la police de New York, que sa mère Mary croit pasteur. Malheureusement pour lui, au terme de sa course poursuite rocambolesque, sa détenue, Larcey, lui échappe. Il est sur la sellette et sur le point d'être mis à la porte de la police new-yorkaise, mais une dernière mission l'attend : retrouver Larcey et la mettre sous les verrous.
Mais une fois de plus, rien ne se passe comme prévu et Soda découvre que le vrai criminel n'est pas toujours celui qu'on croit... -
Ailleurs, au moins il ne sera plus flic.
"Partir. Quitter le pays". Cette tentation hante quotidiennement l'esprit du lieutenant Soda, police de New York. Hier otage de trois truands déguisés en prêtres (un comble), aujourd'hui confronté à un trafic de plutonium - montant de la transaction : dix millions de dollars ! -, il se surprend à rêver de retraite anticipée. "Partir. Quitter le pays". D'autant plus que sa propre mère, d'ordinaire cloîtrée chez elle, quitte l'appartement plus souvent qu'à son tour pour aller courir le guilledou ! "Partir. Quitter le pays". Pis encore : son prétendant n'est autre que Don Aniello Raffaele Dellacrocce, l'un des parrains les plus puissants de la mafia. "Partir. Quitter le pays". Pour Soda, cela devient désormais vital. Mais n'est-il pas déjà trop tard ?
Prise d'otages, trafic de matières fissiles, manifestations de rue qui dérapent, le quotidien de Soda - pasteur pour sa mère, flic pour le reste du monde, trois doigts seulement à la main gauche - devient de plus en plus insoutenable. Et pourtant, l'angoisse, la véritable angoisse, ne vient jamais d'où l'on croit. C'est sur les coussins moelleux d'une limousine, des roses rouges dans certaine main, que se joue l'issue de l'enquête la plus périlleuse de sa carrière. Une fois encore, dans ce onzième opus de la série, Philippe Tome n'a pas son pareil pour mener tambour battant un récit où l'action la plus débridée le dispute au suspense le plus inventif, tout en distillant un humour de la plus jubilante noirceur. On savait Bruno Gazzotti dessinateur doué d'une redoutable efficacité, on admire en plus la légereté et l'élégance de son trait, alliées à un sens époustouflant de la mise en scène. Tome, Gazzo, Soda : un trio gagnant. -
Quand le flic devient un tueur.
"Être policier n'est pas le plus difficile. La peur, le sang, le vitreux d'un regard mort... Je ne pense pas qu'on oublie, non... Mais à ce qu'il paraît, il est possible de s'y habituer." Même en proie à ses états d'âme, Soda, policier new-yorkais trois doigts à la main gauche et une mère cardiaque qui le croit pasteur est un flic terriblement efficace.
Lors d'une mission particulièrement sanglante, il abat un jeune homme. Il apparaît que ce dernier était un tueur au service du gouvernement, qui impose alors à Soda de le remplacer pour terminer sa mission fatale...
On savait Philippe Tome capable d'humour et de tendresse avec les gags du "Petit Spirou". On a découvert son talent de scénariste dramatique, qui ne se départit jamais de son humour noir, avec "Sur la route de Selma" (avec Berthet) et "Berceuse assassine" (avec Ralph Meyer).
Quant à Bruno Gazzotti, chaque album de "Soda" est l'occasion pour lui de prouver la virtuosité et la redoutable efficacité de son trait.
Avec ce personnage de flic new-yorkais désabusé, qui fait croire à sa mère qu'il est pasteur ce qui l'oblige à des contorsions vestimentaires deux fois par jour dans l'ascenseur les auteurs ont créé un des héros les plus originaux et les plus forts de ces quinze dernières années. Une série qui fait la part belle à l'action et à l'humour noir. -
Quand la fiction écrit la réalité et que les mots engendrent la mort...
Cet album revient sur les débuts de Soda à New York. Fauché, sans boulot et soumis aux lois de la débrouillardise, il cherche tant bien que mal à se faire de l'argent. Son voisin - un écrivain sur la pente descendante - le remarque et lui propose de devenir son nègre. Sans autre solution, Soda accepte de rédiger des histoires de meurtres pour quelques sous en trouvant l'inspiration parmi ses voisins.
Mais alors que la machine à écrire déverse ses pages, Soda est témoin de macabres coïncidences... La vie ne tiendrait-elle qu'à une ligne ? -
Pour faire équipe avec le lieutenant Soda, l'officier Danny Clearwater ne reculerait devant aucun sacrifice. Pas même celui de laisser mourir un autre flic pour mieux prendre sa place. Car ce jeune policier aimé de tous s'intéresse de très près à la double vie de son aîné. Par ruse, il parvient à sympathiser avec la mère de Soda, qui ignore tout du vrai métier qu'exerce son fils, pour mieux les rallier à sa cause : sauver un innocent de la chaise électrique. Mais Clearwater est-il aussi clair qu'il veut bien le dire ?
-
Depuis des années, pour préserver le petit coeur fragile de sa mère, Soda mène une double vie : flic de New York pour tous, pasteur aux yeux de sa maman. Jusqu'à présent, l'entourloupe a toujours fonctionné et Mary croit à la vocation de son petit David. Mais cela risque d'être mis à mal le jour où son oncle pasteur débarque dans leur appartement new-yorkais pour rendre visite à Mary. Devant maintenir l'illusion de sa fausse vocation, Soda conduit son oncle dans sa chapelle pour le présenter à ses « fidèles », une bande de prisonniers en transit entre deux prisons. Sérieusement, qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
-
Un billet pour le paradis... ou les enfers ?
Tout commence avec une fusillade dans les rues de New York. Soda se doit d'intervenir malgré lui, mais le meurtrier lui échappe. Ce dernier est bien connu des forces de l'ordre : Magic Sam, un tueur à gages. Cependant, l'altercation n'aura pas été sans conséquences pour lui : en s'échappant, il perd un billet de 100 dollars qu'un sans-abri récupère au vol. Une aubaine ! La chance serait-elle en train de tourner pour ce clochard ? À moins que ce ne soit le signe d'un danger imminent... Car Magic Sam fera tout pour récupérer son billet. Mais pourquoi ? Que représente-t-il vraiment ? -
Un gros procès se profile à New York : Norton, l'ancien comptable d'un narcotrafiquant, a accepté de témoigner contre son ancien patron. Cependant, ce témoignage n'est pas au goût de tous et la fille de Norton se fait enlever. Il demande alors personnellement à Soda de la retrouver, autrement il ne confiera pas son précieux témoignage au procès.
C'est ainsi que Soda mène l'enquête, qui la conduit jusque dans un monastère... Qui a dit que les voix du seigneur étaient impénétrables ? -
Plus que jamais, mentir à sa mère sur sa profession pèse sur la conscience de Soda. C'est qu'il l'aime, Mary... Il voudrait tant tout lui avouer, mais pas aujourd'hui, car aujourd'hui il conduit Mary à l'hôpital pour faire contrôler son coeur.
Alors que sa mère subit une panoplie d'examens, Soda est témoin d'un accident où une jeune femme se fait renverser. En tentant de la secourir, elle s'accroche à lui en lui confiant ses derniers mots. Ils plongent Soda dans la confusion et elle dans la mort.
Qui était-elle vraiment ? À quoi était-elle liée ? Dans quel pétrin était-elle fourrée ? Suivant son instinct, Soda mène l'enquête, et son trouble n'ira que grandissant au fil de ses découvertes... -
Martha aurait pu choisir un autre homme. Dans ce trou perdu où elle a grandi, ils étaient tous à ses pieds. À cause de ses jambes, justement - des jambes de danseuse. Mais elle aimait Joe Telenko, un type qui buvait trop et conduisait trop vite. Et depuis l'accident, la danse, c'est fini. La vie aussi.
Maintenant, Martha rumine sa haine dans un fauteuil roulant. Et pendant que Joe trimbale son taxi dans les quartiers pourris de New York, elle rampe dans la maison, fouille ses affaires et lit son journal, histoire de savoir à quoi ressemble sa vie. Rien d'étonnant : une fille qu'il culbute quand il a de quoi la saoûler, les visites à Arthur le toubib, un problème de tachychardie et quelques notes la concernant : " Je vais la tuer. " Car Joe veut la peau de Martha, et Martha aimerait bien voir crever Joe. S'ils ne se quittent pas, c'est que chacun espère contempler un jour le cadavre de l'autre. Au fait, un petit détail. Le toubib avait raison : Martha ne marche pas parce qu'elle ne le veut pas vraiment. Quand elle veut, elle peut.
Un scénario bien bouclé et un dessin aussi sobre qu'efficace pour une balade très noire sur fond sepia. Pas de bavardages inutiles, juste un désespoir intégral sur fond de jungle urbaine.
Deuxième tome de ce thriller intimiste qui a été un véritable choc éditorial à sa sortie !
-
Après les 2 premiers albums "Le coeur de Telenko" et "Les jambes de Martha", le 3ème et dernier tome de cette trilogie "La mémoire de Dillon" permet de comprendre la signification du titre "Berceuse assassine".
Dillon est le père de l'enfant que Telenko a renversé. Un accident, 3 déchéances...au moins.
Après avoir vécu le calvaire de Telenko et celui de Martha, Philippe Tome et Ralph Meyer nous invitent à pénétrer dans le quotidien de cet Indien Navajo plongé malgré lui en enfer. Par la faute de ce couple de Blancs, jamais puni, il a tout perdu. Sa fille Hope, son épouse Shinya, inconsolable.
La vengeance est un plat qui se déguste froid et qui doit se mériter.
Dillon va reconstituer, étape par étape, le chemin parcouru par Telenko, l'homme qui lui a volé sa vie. Un véritable parcours du combattant doublé d'une quête initiatique pour cet "American Native" immergé dans des villes inhospitalières.
Dillon a vécu l'enfer. Exilé loin de sa terre. Exclu par la société des Blancs.
Un sacrifice total pour parvenir à ses fins : éliminer Joe Telenko, la source de tous ses maux. Une détermination froide et implacable que l'on se surprend à légitimer, comme on a pu être tenté de justifier la volonté de Joe d'en finir avec Martha (dans "Le coeur de Telenko") avant de comprendre l'envie de cette épouse brisée de liquider son mari coupable de tout ce gâchis (dans "Les jambes de Martha")...
Guidé par la berceuse qu'il chantait à sa petite Hope, le personnage de Dillon brouille encore un peu plus les pièces de ce puzzle psychologique. Sulfureux à souhait !
-
Telenko, chauffeur de taxi new yorkais, passe ses journées à trimbaler des loques dans des quartiers pourris, avec la hantise de claquer comme ce type, dans un film, qui écoutait son coeur s'arrêter tous les quinze battements.
Telenko a le coeur fatigué - un peu de tachychardie, quelques extrasystoles, sans compter le stress du métier et le plaisir sans cesse renouvelé de se faire traiter de nul par Martha, sa femme : elle est vissée sur un fauteuil roulant et elle le hait. "On ne divorce pas d'une épouse à roulettes, Telenko !" Elle finira par avoir sa peau, c'est sûr. Comme cette salope qu'il vient de charger dans son taxi et qui se fait tripatouiller par son amant sous le nez de son vieux mari sub-clabotant.
Alors, il décide de tuer Martha.
Mais il faut des tripes, pour abattre sa femme de sang-froid. D'autant plus qu'elle lui réserve une surprise assez dure à avaler...
Un scénario parfaitement bouclé et un dessin musclé pour une balade noire sur fond sepia, seulement éclairée par le jaune du taxi et celui du fauteuil roulant. Un thriller intimiste dans une jungle de béton, construit comme une musique qui bat au rythme inégal d'un coeur foutu.
-
Depuis des années, pour préserver le petit coeur fragile de sa mère, Soda mène une double vie : flic de New York pour tous, pasteur aux yeux de sa maman. Jusqu'à présent, l'entourloupe a toujours fonctionné et Mary croit à la vocation de son petit David. Mais cela risque d'être mis à mal le jour où son oncle pasteur débarque dans leur appartement new-yorkais pour rendre visite à Mary. Devant maintenir l'illusion de sa fausse vocation, Soda conduit son oncle dans sa chapelle pour le présenter à ses « fidèles », une bande de prisonniers en transit entre deux prisons. Sérieusement, qu'est-ce qui pourrait mal se passer ?
-
Un gros procès se profile à New York : Norton, l'ancien comptable d'un narcotrafiquant, a accepté de témoigner contre son ancien patron. Cependant, ce témoignage n'est pas au goût de tous et la fille de Norton se fait enlever. Il demande alors personnellement à Soda de la retrouver, autrement il ne confiera pas son précieux témoignage au procès.
C'est ainsi que Soda mène l'enquête, qui la conduit jusque dans un monastère... Qui a dit que les voix du seigneur étaient impénétrables ? -
U.S.A, East Harlem, New York. Novembre 2005. Malcom « Malek » Brown est noir, pauvre et musulman. Sorti de prison, il survit dans une Amérique hostile aux musulmans après avoir été hostile aux « nègres ».
Alexander Birke a connu la Shoah, il est vieux et passionné d'échecs. Ces deux hommes que tout sépare vont pourtant se rencontrer dans une chapelle de Harlem, où le premier est technicien de surface et le second amateur de Gospel.
-
New York en a connu des courses poursuites dans ses rues, mais jamais en corbillard ! C'est ainsi qu'on fait la connaissance de Soda, flic dans la police de New York, que sa mère Mary croit pasteur. Malheureusement pour lui, au terme de sa course poursuite rocambolesque, sa détenue, Larcey, lui échappe. Il est sur la sellette et sur le point d'être mis à la porte de la police new-yorkaise, mais une dernière mission l'attend : retrouver Larcey et la mettre sous les verrous.
Mais une fois de plus, rien ne se passe comme prévu et Soda découvre que le vrai criminel n'est pas toujours celui qu'on croit... -
Ce troisième et dernier volume reprend les 4 titres suivants :"Et délivre-nous du mal", "Dieu seul le sait", "Prières et Balistique" et "Code Apocalypse".
David Solomon, dit Soda, est flic à New York. Le jour où sa mère, veuve et cardiaque, débarque pour s'installer chez lui, il n'ose pas lui révéler son véritable métier et lui fait croire qu'il mène la vie paisible d'un pasteur de quartier...
Une série policière qui joue sur le double registre du thriller et de l'humour, à (re)découvrir en intégrales.
-
A tous les passionnés d'émotions dessinées, COSMO ouvre les portes d'un territoire étendu où s'entrechoquent l'héritage littéraire dela BD franco-belge, la puissance expressive des comics anglo-saxons et la dynamique narrative des mangas.
-
"On m'appelle SODA, mais mon vrai nom, c'est Solomon. David Elliot Hanneth Solomon. Si elle savait, ma mère vous dirait sans doute que je suis policier, mais à New York, il n'y a pas de policiers, juste des flics. De toute façon, elle ne sait pas, ça l'inquiéterait, elle m'a toujours cru pasteur...
Depuis l'an dernier, elle habite avec moi ; elle ne sort jamais et ne lit pas les journaux qui sont pleins de violence. C'est pas plus mal : les types que j'arrête sont parfois un peu morts..." Le présent volume réunit les tomes 5 à 8 de la série : "Fureur chez les saints", "Confession express", "Lève-toi et meurs" et "Tuez en paix".