600 pages des plus beaux joyaux d'une architecture éblouissante qui transforma radicalement l'art occidental.
Théorisée par des artistes comme Filippo Brunelleschi et Leon Battista Alberti, l'architecture de la Renaissance italienne a profondément marqué les styles et les tendances des siècles suivants, à la fois dans l'Europe entière et dans cette partie où s'enracinaient ses propres traditions culturelles. Marco Bussagli nous propose dans ce fabuleux recueil un inventaire raisonné de cette architecture - civile, religieuse et, un peu moins connue, militaire, richement illustré de photographies, dessins, relevés, plans et cartes pas types de construction, grands architectes et localisations géographiques. En introduction de cet ouvrage, Jean-Marie de Montclos retrace en une belle fresque les grands traits de l'histoire architecturale de cette période. En un format spectaculaire (34x32, 600 pages), redécouvrez une architecture incontournable.
Trois grandes parties structurent l'ouvrage: la Première Renaissance, la Haute Renaissance et le Maniérisme.
Palais, immeubles, villas, églises, monastères, squares, rues, fontaines ou escaliers, l'ensemble des éléments architecturaux remarquables sont présentés, dessins et cartes à l'appui.
"Mon propos n'est pas de faire l'histoire de l'architecture européenne, mais de choisir les exemples qui serviront le mieux la restitution des échanges intereuropéens. On doit pouvoir observer de ces phénomènes dans toutes les périodes, mais celle que l'Histoire a nommée Temps modernes (1453-1789) est particulièrement favorable à leur production. Le contexte est en effet celui de l'étonnante confrontation entre la volonté de restituer l'Antiquité, considérée comme un moment de perfection disparu, et l'impératif de la modernité naissante et pressante." écrit Jean-Marie Pérouse de Montclos, historien de l'architecture et amoureux de l'Europe. L'idée de ce livre est née du Brexit qui rappelle la rupture opérée au XVIe siècle par l'Angleterre avec l'influence artistique romaine. L'auteur démontre l'abondance des échanges au cours de cette période, rendus possibles notamment par l'invention de l'imprimerie et la diffusion des traités d'architecture sur l'ensemble du continent. L'architecture codée qu'ils ont imposée a, pour la première fois, donné à l'Europe cette unité qui a mis en évidence sa diversité naturelle. Les monuments qui en sont restés aujourd'hui constituent les antiquités de notre temps.
L'architecture publique englobe les édifices qui ne sont ni religieux ni privés. Leur importance tant numérique que sociétal et architectural est immense. Pourtant, aucune synthèse n'a été écrite à ce jour sur ces édifices bâtis du XVIe au XVIIIe siècles alors que ces bâtiments s'individualisent : des collèges ou des bibliothèques sortent des enceintes religieuses, des prisons deviennent des édifices indépendants, des théâtres s'émancipent des palais. Tous marquent visuellement la cité et l'embellissent. Tous bénéficient d'une identité architecturale, ils ont leur propre caractère. Tous sont enfin le fruit d'une volonté politique, sont caractéristiques d'une histoire formelle et institutionnelle. L'ouvrage que nous présentons ici vise à mieux faire connaître cette architecture dans sa diversité typologique, dans son contexte historique et urbain. Il permet également de mettre en exergue les prémices d'une préoccupation architecturale plus caractéristique du XIXe, voire du XXe siècle. Les propos sont organisés autour de quatre idées centrales : les pouvoirs en représentation (ministères, parlement), les lieux d'enseignement et de culture (collèges, théâtres), les édifices utilitaires (phares, hôpitaux, ponts), les bâtiments édilitaires (bains publics, bourses de commerce). Cette présentation permet d'examiner cette architecture publique en gestation sous des prismes divers, qu'elle soit de prestige ou élémentaire.
La Renaissance française nous a légué parmi les beaux joyaux du patrimoine architectural français. Si l'on pense bien évidemment aux châteaux du Val de Loire, il ne faut pas pour autant oublier les très nombreux autres témoignages de cette période. Daniel Leloup nous aide à comprendre ce que fut la Renaissance en France et comment elle se traduit dans l'architecture. Une histoire précise, des exemples concrets, clairement illustrés.
Dès le début de la Renaissance, les chapelles des églises de Rome ont été richement décorées. Mais c'est aux XVIe et XVIIe siècles qu'elles sont devenues des espaces où les grandes familles patriciennes et la haute bourgeoisie romaine ont pu faire ostentation de leur prestige social. Dans la richesse de ces apparats a triomphé l'auto-représentation de sociétés, lignées et grands hommes. Souvent, les chapelles étaient conçues comme parties d'un système plus complexe, élargi à la nef et aux autres chapelles, en un dialogue entre les arts et les commanditaires de divers milieux. La « voix » individuelle de chaque chapelle (ses objectifs et significations) répondait de cette manière au plus vaste « discours » choral des arts à l'intérieur de l'église, avec des résultats de plus en plus expressifs et spectaculaires à la période baroque.
Cet ouvrage fait le point sur ce phénomène - tellement significatif et propre à la capitale pontificale - à travers l'étude de plusieurs cas entre les XVIe et XVIIe siècles. Les diverses contributions, qu'elles soient historiques, philologiques ou iconographiques, ouvrent à un nouveau regard les intérieurs des églises les plus vénérées de Rome.
La storia e l'arte di una delle più importanti residenze nobiliari suburbane del Cinquecento, tra le più belle e antiche di tutto l'arco alpino La pubblicazione si compone di uno spettacolare volume illustrato, frutto di una apposita campagna fotografica realizzata da Massimo Listri, e di un volume storico-critico dedicato agli studi, alle ricerche e ai documenti relativi alla storia, all'architettura e ai tesori d'arte della celebre residenza del XVI secolo.
Unico esempio, nel territorio trentino, di villa suburbana di epoca conciliare, Villa Margon è caratterizzata da un'impostazione architettonica a portico e loggia, tipica dell'architettura veronese dell'epoca.
All'interno della Villa, artisti italiani, fiamminghi e di area tedesca hanno realizzato decorazioni affrescate di altissima qualità, che comprendono il ciclo di dodici affreschi dedicato alle vittorie di Carlo V, quelli relativi alla rappresentazione di episodi dell'Antico e del Nuovo Testamento e un quarto dedicato alla raffigurazione dei dodici mesi dell'anno. A questi temi è associata una cospicua produzione di metope lignee dipinte con grottesche e ritratti virili e muliebri riconducibili a specialisti di questo tipo di decorazione, influenzati dalle incisioni dell'epoca. Una sezione è infine dedicata alle opere d'arte (sculture e mobili) di area fiamminga e tedesca che fanno parte della collezione seicentesca dell'abate Luca Ferrari, uno dei proprietari della Villa che si avvicendarono come feudatari del vescovo di Trento a Margone tra il XVI e il XX secolo.
Immersa nei vigneti da cui nascono le bollicine Ferrari Trentodoc, Villa Margon è oggi di proprietà della famiglia Lunelli e sede di rappresentanza del Gruppo Lunelli. La Villa, riportata all'antico splendore dalla nuova proprietà, è aperta al pubblico e offre un originale viaggio storico-artistico ed enogastronomico.
Michelangelo Lupo (1948), architetto specializzato in Storia dell'arte, è stato direttore del Museo del Castello del Buonconsiglio a Trento dal 1978 al 1984. Massimo Listri (1953), il maestro della fotografia d'architettura e d'ambienti, ha pubblicato oltre settanta libri in collaborazione con i più prestigiosi editori in Europa e negli Stati Uniti.
La demande de restauration de la statue Notre-Dame la brune « chère entre toutes aux Tournaisiens » a été l'occasion d'ouvrir un double dossier à la fois technique et historique, conçu de manière interdisciplinaire. Les conclusions sont inattendues. L'histoire nous apprend que cette statue est l'une des rares statues du 16e siècle qui fait toujours l'objet d'une dévotion dans la cathédrale ; que pendant un bon siècle, elle semble avoir été particulièrement prisée par l'occupant espagnol ; que son culte a connu une réelle ferveur au 18e siècle, ce qui explique d'ailleurs que des paroissiens l'ont sauvée des destructions de la Révolution française ; qu'elle ne figure pas avant 1953 dans la procession de septembre et que l'appellation la brune n'intervient pas avant le milieu du 17e siècle. C'est ici qu'interviennent les apports d'ordre technique. A l'origine, la statue pourrait avoir eu un visage polychrome avec des cheveux dorés et des vêtements à dominante brun et or. C'est après 1864 que le visage de Marie et le corps tout entier de Jésus sont brunis, peut-être pour inscrire la statue dans le mythe romantique des "Vierges noires", en se focalisant sur la couleur du visage, oubliant par là même que l'appellation la brune pouvait désigner autre chose. Telle qu'elle se présente aujourd'hui après restauration, la polychromie de la statue correspond à un état historique ayant existé au moment de son emplacement sous un dais néo-roman en 1864. La sculpture restaurée et son dais sont ainsi redevenus deux beaux témoins de la piété mariale à la cathédrale de Tournai au 19e siècle.
L'Architecture harmonique est le premier traité dédié aux rapports entre musique et architecture, le premier écrit par un musicien. Il n'existe aucune édition de ce texte, longtemps inaccessible. Son importance est pourtant primordiale, pour ce qui concerne l'analogie des proportions musicales et architecturales.
A stunning photo book on Europe's supreme example of the Italian Renaissance garden.
The Villa d'Este is a 16th-century villa in Tivoli, near Rome, internationally renowned for its terraced hillside Italian Renaissance garden containing an outstanding array of fountains, nymphaea, grottoes, water features and atmospheric sound effects. Named a UNESCO World Heritage Site in 2001, the garden is widely considered to be one of the finest examples of Italian Renaissance gardens in Europe.
Villa d'Este was first conceived of in 1550 by the governor of Tivoli, Cardinal Ippolito II d'Este, who had long envisioned a garden built on the slopes of the valley known as Valle Gaudente. But it was only after 1560 that the villa's architectural and iconological blueprint was defined by painter-archaeologist-architect Pirro Ligorio and executed by court architect Alberto Galvani. When Ippolito d'Este died in 1572, the project was nearly complete.
Throughout its long history, the villa has changed hands several times, fallen in and out of disrepair and even been occupied and looted by French soldiers during wartime. At the outbreak of the First World War, Villa d'Este was acquired by the Italian State, which launched a major restoration of the property before opening it to the public in the 1920s and 1930s. Since 1920 it has remained under the control of the Italian government and continues to be enjoyed by thousands of visitors every year.
Introduced by Andrea Bruciati, art historian and director of Villa d'Este, this spectacular photo book chronicles the history of the villa and its grounds, documenting in stunning detail the masterpiece water garden as well as the villa's sprawling and intricate interiors.
Old Cuba presents an insider's view of the splendid colonial-era sites of the storied island nation, from the grand apartments and magnificent cathedral of Old Havana to the plantation homes of Pinar del Río.
Cuba dominates the entrance to the Gulf of Mexico, fixed between the great continents to the north and to the south, and has long served as a bridge between the Old World and the New. First visited by Christopher Columbus in 1492, its history of interaction with the Old World of Europe is among the longest in the Americas, and its architecture bears testament to this: Cuba is home to some of the most ancient cities and towns in the western hemisphere. As a result, the country once known as the «pearl of the Antilles,» stands now as a treasure chest of alluring historic architecture-seasoned by European precedents mixed with colonial and Caribbean spice-and boasts an extraordinary number of Unesco Cultural Heritage sites, from the historic center of Old Havana with its original city walls and the Castillo de la Real Fuerza-the oldest extant colonial fortress in the Americas-to the sixteenth-century city of Trinidad, within the central Cuban province of Sancti Spíritus, recognized by historians and scholars as a triumph of historic preservation and whose maze of pastel mansions and churches forms one of the best collections of colonial architecture to be found anywhere.
From Old Havana to Santiago de Cuba, Old Cuba offers an intimate look at the historic architecture- the houses, apartments, monuments, charming public spaces, and centuries-old churches-of this storied country.
Les clochers et enclos de style dit "Beaumanoir" sont légion dans le Trégor occidental et haut Léon.
On reconnaît un style particulier à nombre de nos églises et chapelles si bien qu'on a attribué la construction de beaucoup d'entre elles aux Beaumanoir, famille de maîtres -bâtisseurs bien identifiée à la Renaissance.
On connaît cependant peu de choses sur les porteurs de ce patronyme.
Christian Millet a suivi plusieurs d'entre eux grâce aux traces qu'ils ont laissées dans les archives rescapées de quelques chantiers.
Il a aussi essayé de classer les monuments selon leurs caractéristiques architecturales et tenté de démêler ce qui est propre à ce style, cette "école d'architecture" et ce qui appartient à la tradition gothique.
Un beau travail de recherche et d'érudition abondamment illustré.
En 2019 est célébré le demi-millénaire du début de la construction, en 1519, du plus grand château de la Renaissance dans le monde. Placé sur la première liste des Monuments historiques en France en 1840, Chambord est le plus mystérieux des palais royaux, jouant de la fausse symétrie et de plusieurs inconnues. La question de la relecture d'un monument énigmatique et celle de la conservation d'un vaste domaine se conjuguent pour la célébration des cinq siècles du lancement de la construction. 500 ans plus tard, Chambord suscite toujours admiration et fascination. Dans un contexte de forte progression de la fréquentation et de l'autofinancement du Domaine national de Chambord, des chantiers d'importance doivent encore être lancés afin d'offrir un Chambord transformé et magnifié. L'objectif des célébrations est de donner à voir la matrice originelle de Chambord, dans le cadre d'un riche programme de restaurations, associé à une exposition retraçant précisément cette genèse.
Beaux Arts Éditions s'attache à offrir les clés de lecture d'un Chambord tel qu'il a été pensé par son fondateur, François Ier, et par l'architecte inspirateur, Léonard de Vinci, tout en mettant en lumière ses différentes évolutions passées et à venir.
En 2019 est célébré le demi-millénaire du début de la construction, en 1519, du plus grand château de la Renaissance dans le monde. Placé sur la première liste des Monuments historiques en France en 1840, Chambord est le plus mystérieux des palais royaux, jouant de la fausse symétrie et de plusieurs inconnues. La question de la relecture d'un monument énigmatique et celle de la conservation d'un vaste domaine se conjuguent pour la célébration des cinq siècles du lancement de la construction. 500 ans plus tard, Chambord suscite toujours admiration et fascination. Dans un contexte de forte progression de la fréquentation et de l'autofinancement du Domaine national de Chambord, des chantiers d'importance doivent encore être lancés afin d'offrir un Chambord transformé et magnifié. L'objectif des célébrations est de donner à voir la matrice originelle de Chambord, dans le cadre d'un riche programme de restaurations, associé à une exposition retraçant précisément cette genèse.
Beaux Arts Éditions s'attache à offrir les clés de lecture d'un Chambord tel qu'il a été pensé par son fondateur, François Ier, et par l'architecte inspirateur, Léonard de Vinci, tout en mettant en lumière ses différentes évolutions passées et à venir.
L'Accademia roveretana degli Agiati ha organizzato nel 2018 una tavola rotonda incentrata sull'interpretazione del programma decorativo che caratterizza un antico edificio del centro storico di Rovereto: palazzo Noriller.
In seguito ai restauri di cui è stato fatto oggetto, infatti, esso ha restituito nel 1992 ampi brani affrescati di epoca tardomedievale, sia sulla facciata esterna, sia in una saletta interna. Gli interrogativi circa il soggetto, ma anche la committenza e il significato di questi dipinti murali - un «unicum» a Rovereto -, si intrecciano a quelli inerenti la storia architettonica e funzionale della costruzione, in un panorama di studi sulla storia urbana di Rovereto alquanto frammentario e lacunoso.
La tavola rotonda ha tentato di fare luce su tali aspetti, cercando in particolare di iscrivere questo episodio artistico nel contesto storico, culturale e urbanistico della città alla fine del Medioevo, e necessariamente anche nell'ambito più ampio dell'area veneto-tirolese a cavallo della quale Rovereto si collocava, politicamente e culturalmente, fra XIV e XV secolo.
La première Renaissance à Venise a été étudiée par Bertrand Jestaz, spécialiste de la Renaissance française et italienne, à la lumière de documents inédits. Il apporte un nouvel éclairage sur cette période du Qattrocento, surtout connue à Florence mais mal connue à Venise. Un ouvrage de référence.
