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Fondatrice d'un collectif de victimes en février 2012, le CIVIFF, devenu association loi 1901, Caroline Guesnier traite prioritairement des victimes, parce qu'il est grand temps que les mentalités évoluent, et que ces dernières ne soient plus considérées, à tort, comme des personnes faibles, qui préfèrent recevoir des coups plutôt que de partir.
Le sujet a été traité de manière à le rendre le plus accessible possible, y mêlant parfois l'humour afin de ne pas le rendre trop lourd, le tout étayé de témoignages et d'un passage autobiographique.
Le public visé est aussi vaste que possible : la magistrature, les intervenants des services sociaux, tout tiers qui souhaiterait accompagner une victime de sa connaissance, et bien évidemment, les 750.000 femmes victimes de France.
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Rétrospective de l'oeuvre du peintre Charles Rutili depuis les années 70 à nos jours.
Né à Marseille où il vit et travaille, Charles Rutili expose depuis les années 70 dans les galeries et lieux culturels les plus prestigieux.
On peut citer quelques passages à la galerie Chappaz, la galerie Sordini, le Musée de la Vieille Charité à Marseille, la Galerie Visconti à Paris, mais aussi Gênes, New York ou Vienne.
L'Atelier 25, qu'il a créé en 1991 avec son ami Joseph Alessandri, est devenu l'une des écoles de peinture les plus réputées et les plus dynamiques de la cité phocéenne, aujourd'hui installée dans l'historique rue Thubaneau.
Si ses couleurs sont le reflet des émotions, ses formes sont celles de la force. La toile est comme finement sculptée par les écorchures pratiquées dans la première couche de peinture. Sa palette est claire, vaporeuse, la lumière se diffuse et bouge comme piégée par l'espace de l'oeuvre et ce sont des villes imaginaires, des tatouages, des personnages devinés qui apparaissent pour notre plus grand enchantement.
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Distance entre un homme habillé et une femme telle qu'elle est
Rodica Draghincescu
- Autres Temps
- 1 Juin 2001
- 9782845210783
En 1996, Rodica Draghincescu obtient le Prix de l'union des écrivains roumains pour son roman Distance entre un homme habillé et une femme telle qu'elle est.
Ce livre qui n'a laissé personne indifférent marque son entrée dans le domaine de la modernité romanesque. Véritable Michel Butor féminin, elle apporte à la littérature de son pays une force et une originalité qui l'imposent d'emblée comme un écrivain incontournable, faisant entrer la Roumanie d'après Ceausescu dans son futur d'écriture. Tous les critiques roumains sans exception lui ont consacré de nombreuses études, qu'il s'agisse de quotidiens ou de revues.
Immédiatement, cette manière de sortir le roman de son académisme pour, en phrases courtes, percutantes et poétiques, nous faire entrer dans les cheminements de l'être - style nerveux, personnage-narrateur au-delà de ses propres limites -, a propulsé son auteur vers une multiplicité de lecteurs dont cette traduction est l'un des vecteurs essentiels.
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Mémoire de Jean Cocteau ; lettres à Jean-Marie Magnan
Jean Cocteau
- Autres Temps
- Temps Memoire
- 8 Février 2007
- 9782845212800
un jour comme les autres, ce 11 octobre 1963.
passé à écrire, peut-être à lui écrire pour le remercier. nous le remercions toujours de quelque chose. je n'ai appris sa mort qu'avec douze heures de retard. la france entière était déjà au courant. et d'une façon qu'il aurait approuvée. dans l'obscurité. quarante-huit heures s'étaient écoulées depuis son dernier envoi : les douze dessins terminaux d'une série qu'il m'offrait pour illustrer un essai tauromachique.
je me répétais jusqu'à l'absurde dans l'obscurité cette phrase du grand écart : " rien ne ressemble plus à un coucher de soleil qu'une corrida. " c'était donc le couchant, les fanfares de la mort sonnaient pour le poète tandis qu'il achevait de poser les banderilles de feu de ses crayons et embrasait, incendiait le cirque.
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véritable phénomène de société, corpus christi est un raz-de-marée littéraire, entouré d'un épais mystère : nul ne sait rien de l'auteur.
pas même l'heureux éditeur parisien. peut-être darius a-t-il la clef, lui qui n'a jamais pu faire le deuil de raphaël, l'étincelant ami de sa jeunesse. n'était-il pas son gémeau ? mais il ne viendra pas à la conférence de presse qui doit révéler la vérité. stratagème ? est-il manipulateur ou. manipulé, car loin des salons, dans un bourg rural de sologne, les silences sont aussi épais que les sauces sous lesquelles on noie le gibier.
tenaces. mais aussi manipulée ou manipulatrice, cette ariane qui sait parler de corpus christi comme si elle l'avait écrit et se dit messagère ? autre piste, celle du portugal peut-être, oú darius a choisi de vivre. du début à la fin, dans une graduation totalement maîtrisée, le lecteur est happé par une quête, celle de découvrir l'écrivain mystère se trouvant bientôt rattrapée par une question insistante : qui donc dans l'ombre attend son heure ?.
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Stendhal à Marseille ; la ville de son premier amour
Claude Camous
- Autres Temps
- Tout Savoir Sur Marseille
- 1 Mars 2013
- 9782845214583
Avant de devenir célèbre avec Le Rouge et le Noir et La Chartreuse de Parme, le jeune Henri Beyle, qui ne s'appelait pas encore Stendhal, fut séduit, à 22 ans, par une ravissante comédienne, bouleversante interprète de Chimène, dans Le Cid, et il la suivit à Marseille où le futur auteur du savoureux traité De l'Amour, allait ressentir ses premiers émois, sous la flèche du facétieux Cupidon.
Il vivra presqu'une année entière dans la cité phocéenne, et ce fut la période de son existence où il fut certainement le plus pleinement heureux. Toute sa vie, il conservera d'ailleurs une tendresse particulière pour " cette magnifique Marseille " où il reviendra à deux reprises, et c'est d'ailleurs à Marseille, qu'il aura l'idée de Julien, le héros du Rouge et le Noir.
Claude Camous nous transporte allègrement dans l'univers romanesque et passionné du grand écrivain qui sans cesse se met en scène à travers ses héros séduisants et généreux, un univers qu'il commence à construire à travers l'une de ses toutes premières expériences de l'Amour, au coeur de cette ville qui le fascine, en dépit de ses mauvaises odeurs, " la plus jolie ville de France ".
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N'y a-t-il pas, dans votre existence, certaines journées-clefs où tout a basculé, faisant prendre à votre vie une direction inattendue ? Comme ce dimanche 11 octobre 2006 où Djémila, jeune femme tourmentée, va accomplir sa mission, changeant pour toujours les vies de Medhi, vieil aigle majestueux, agent d'entretien à la gare Saint-Charles, et de Cathy, jeune interne en pédiatrie.
Quant à Arthur, ce soir d'octobre 1998, sa vie a pris une tournure dramatique. Ce jeune homme de 18 ans, à l'avenir très prometteur, a été plongé dans le coma par un terrible accident que personne ne s'explique. À son réveil, plus rien n'a de sens, il est amnésique. Huit ans plus tard, sa mère Evelyne lui avouera son terrible secret. Le chassé-croisé des destins de Djémila, Cathy, Medhi et Arthur s'articule ainsi autour de deux journées hors norme à onze années d'intervalle.
Deux journées où tout a changé et où ils ont pu se rencontrer, sans le savoir, parfois sans conséquence et parfois dans un grand fracas. À l'instar des films " choral ", dont l'engouement se fait de plus en plus sentir, " Chaque jour que Dieu défait " est un roman dans lequel chacun des personnages a quelque chose à nous dire. Ils sont nous, ballottés par l'absurdité, la cruauté et la beauté parfois insupportables de la vie.
Ils ne demandent qu'à exister encore, pour nous jouer malgré tout la vibrante symphonie de l'espoir.
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Pendant plus de cent cinquante ans, Marseille vécut au rythme des galères qui devinrent le symbole même de la ville et une formidable vitrine pour elle sur le monde.
Entrant et sortant quotidiennement du somptueux Arsenal des galères, véritable ville dans la ville, richement décorées lors des nombreuses parades dans le Vieux-Port, elles offraient aux Marseillais un spectacle éblouissant d'une magnificence baroque. En dépit de la pauvreté proche de la misère d'une partie de la population, de l'insécurité et de la violence, de la persistance des grands fléaux héritiers du Moyen-Age, comme la peste, des conditions de vie épouvantables des galériens, les Marseillais exhibaient une mine réjouie.
« À Marseille écrira un notable suisse de passage à Marseille, il y a aussi des pauvres, des gueux, des éclopés, comme partout, mais ici, ils ne semblent pas tristes. Souvent même, ils sont joyeux ». Il faut dire que tout semblait fait, dans la cité phocéenne, pour que tout le monde soit joyeux et s'amuse. À Marseille, durant tout le XVIIe siècle, on ne dénombrait pas moins d'une trentaine de fêtes religieuses chômées jusqu'à la veille de la Révolution, sans parler des fêtes profanes, fêtes de quartier, fêtes spontanées célébrant une pêche exceptionnelle, le départ des botanistes pour leurs « expéditions » dans les collines provençales, La réfection d'une rue, l'anniversaire de l'un, la naissance de l'autre. La disparition progressive des galères à partir de 1750, marquera pour Marseille la « fin d'une époque ».
Avec les progrès scientifiques et l'émergence des idées nouvelles, Marseille allait s'ouvrir sur la modernité, mais les Marseillais allaient devoir affronter de nouveaux problèmes et ils commencèrent à éprouver une certaine nostalgie en songeant à cette « époque » qui s'achevait, une époque rude mais où l'on prenait le temps de vivre, de rire et de s'amuser, et ils commencèrent alors à regretter amèrement « le temps joyeux des galères ».
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La ville de Toulon et sa montagne tutélaire, le mont Faron, sont indissociables.
Formé de roches sédimentaires soulevées lors de la formation des Alpes, le Faron a été habité par les hommes du néolithique et probablement ceux du paléolithique qui occupaient déjà ses grottes. Au sommet était installée, depuis les temps les plus reculés, une vigie chargée de surveiller la mer et de signaler l'approche des bateaux inquiétants. La végétation naturelle de la montagne a subi les assauts des incendies, des troupeaux et des Toulonnais.
C'est ainsi que depuis des siècles la partie supérieure du Faron n'offrait aux regards que des rochers inhospitaliers dont le soleil soulignait la désolation. Le reboisement fut une longue entreprise qui se poursuit encore de nos jours, les incendies détruisant en quelques heures de longues années d'efforts. L'eau qui tombe sur le sommet et sur les montagnes voisines, s'infiltre dans les fentes des lapiaz et forme des cours d'eau souterrains.
Le plus important d'entre eux sort de terre à la source Saint-Antoine. Au XVIIIe siècle le Faron joua un rôle militaire important au cours de deux sièges (1707 et 1793). La ville punie échappa à la destruction mais devint "Port la Montagne". Lorsque les progrès de l'artillerie rendirent possible le bombardement de la cité depuis les pentes et le sommet du Mont, il devint nécessaire de les défendre aussi bien que la ville elle-même.
C'est ainsi qu'à partir de 1845 le Faron se couvrit d'ouvrages de défense, ce qui nécessita la construction de nouvelles voies d'accès. Au cours du XXe siècle le Faron est devenu progressivement une aire de loisirs : téléphérique, musée, zoo, falaises d'escalade, courses, sentiers de promenade... D'avril à mai le Faron est un véritable jardin couvert de fleurs. Depuis 1991 le Faron est un site classé.
Il est intégré au réseau Natura 2000 en tant que site d'importance communautaire.
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Mythe planétaire aux parfums sulfureux, le festival de Cannes constitue le point de rencontre de ce road-movie qui apporte un éclairage cru et hilarant sur les dessous (quand elles en portent !) des stars de tous acabits venues se " mélanger " à une faune interlope attirée par l'argent, les paillettes et le sexe.
Aiguillonnés par le lancinant appel du rut, trois étudiants farouches bringueurs entendent bien y jouer leur partition... avec le même instrument ! Ils disposent pour ce faire d'une séduction, certes indiscutable, mais quelque peu arrogante, leur tableau de chasse reposant pour l'essentiel sur le tir aux pintades. Parallèlement, trois ravissantes universitaires slovaques sont recrutées comme traductrices, au service des " people " du 7e Art.
Grisées par l'espoir de côtoyer les plus grandes stars de l'époque, elles devront bientôt déchanter : la presse spécialisée et ses reportages à l'eau de rose mièvrement allusifs sont bien loin de la torride réalité ! En lisant ce livre déjanté, vous découvrirez enfin ce que cache la grand'messe hypocrite qui se déroule chaque année sous les auspices de l'élégance, de la fête et de la beauté.
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Loin du star-system, Daniel Auteuil est un acteur discret, voire timide.
S'exposant peu aux médias il se dévoile très difficilement, parle rarement de sa jeunesse et jamais de sa vie privé. Lors des interviews, il préfère s'étendre sur son dernier rôle, faisant rarement étalage de sa notoriété ou de sa carrière, partant du principe que ses amours, ses enfants et sa famille en général, c'est son jardin secret. Capable de vous faire passer du rire aux larmes d'une réalisation à l'autre, il est un artiste complet, jouant aussi bien un Ugolin qu'un François Pignon, étant crédible dans le costume du Marquis de Sade comme dans celui d'un flic à la dérive.
A soixante ans, libre dans sa tête, libre dans ses choix, Daniel Auteuil est un acteur heureux et accompli, qui vit sa vie d'homme loin des projecteurs. Avec plus de soixante-dix films à son actif sept séries télévisées et dix-huit pièces de théâtre, auréolé de deux Césars, d'un prix d'interprétation au festival de Cannes, d'un BAFTA (équivalent britannique des Oscars aux Etats-Unis) et d'un prix Gérard Philipe, il n'a plus rien à prouver.
La seule chose qui lui reste à faire ? Donner encore beaucoup de plaisir à son public, et ce, pendant encore de nombreuses années.
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""Grâce" à ma grand-mère, je porte un prénom exceptionnel! Considérée comme mort-née à ma naissance, elle pria à genoux avec une immense ferveur la Sainte Vierge, demandant de lui faire la grâce de me rendre la vie.
Voici pourquoi j'utilise souvent en poésie ce mot et ce nom. Après un premier recueil, Moments de Grâce, j'ai le plaisir de vous présenter mon nouveau-né, fruit de mes peines et mes bonheurs qui, jour après jour, ont forgé et fait évoluer ma vie. Ce sont ces expériences et ces réflexions que je porte vers vous, comme des Etats de Grâce. Je vous invite et vous entraîne dans leur délicieux sillage."
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Qui était suzy solidor ? qui était donc cette femme " la plus portraiturée au monde ", la femme aux 220 visages ? l'égérie des artistes des années folles ? la garçonne maîtresse de la scandaleuse yvonne de bremond d'ars ? la sulfureuse chanteuse aux textes ambigus ? l'interprète houleuse de chansons de marins ? l'amante inattendue du séduisant aviateur jean mermoz ? l'envoûtant et nostalgique soldat de lili marleen ? celle qui avec son franc-parler et non sans élégance aimait à se définir comme la " descendante d'un corsaire, par la cuisse gauche ", a certainement mené une existence aussi mouvementée que celle de surcouf, son glorieux aïeul.
De son enfance meurtrie au pied de la tour solidor, non loin de saint-malo, à sa retraite dorée dans le vieux bourg de cagnes-sur-mer sur les rivages méditerranéens, la vie de cet enfant illégitime fut une perpétuelle quête de reconnaissance menée tambour battant entre défi et provocation. cette première biographie de la chanteuse suzy solidor a pu être réalisée grâce à l'accès dont a bénéficié l'auteur à des archives privées jusque-là jamais publiées, à la consultation de fonds officiels des bibliothèques nationales de france et de l'ina, ainsi qu'à celles personnelles, de l'artiste, détenues par la ville de cagnes-sur-mer oú sont exposés les tableaux de la donation solidor.
De nombreuses photographies privées et des témoignages particulièrement précieux sont venus enrichir et parfaire la connaissance de cette personnalité hors du commun.
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Dans un Marseille plus vrai que nature, descriptions pittoresques et vivantes des lieux mythiques tout autant que des petits bistrots de quartier vivant à l'heure de l'apéro permanent, des vedettes d'hier de toutes les disciplines sportives se font occire les unes après les autres.
Quels liens peuvent exister entre les assassinats de ces grands champions marseillais ? Le journaliste Marcel Rustino, bon vivant désabusé, décide de jouer les enquêteurs, d'autant qu'il connaissait bien les victimes... Écrit dans un style pur sucre marseillais, ce roman noir sur ciel bleu est un vrai coup de mistral sur les nuages du quotidien.
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thierry le luron, imitateur, humoriste, chanteur, chroniqueur, tirait sa dernière révérence le 13 novembre 1986, il y a tout juste vingt ans.
sa vie aura été un conte de fées du music-hall agité par les carabosse de la politique et l'actualité brûlante - ou drolatique, selon le point de vue - des années 1970-1980. ce livre, à la fois biographie et recueil de témoignages de ceux qui ont bien connu l'artiste, mène l'enquête sur cette courte vie de lumière. une
quarantaine de photographies l'accompagnent, retraçant les grandes étapes de sa carrière, ainsi que de nombreux extraits de ses sketches, qui n'ont pas pris une ride.
des dizaines de personnalités ont voulu rendre hommage à celui qui reste l'un des plus grands humoristes français, notamment : bernard mabille, charles aznavour, dave, carlos, marion game, fred mella, henri tachan, sophie darel, salvatore adamo, serge lama, dick rivers,
jean-jacques debout, gilles vigneault, pascal sevran, jean-luc lahaye, chantal goya, gérard lenorman, olivier lejeune, andré verchuren,
richard anthony, georges moustaki, isabelle aubret, nicoletta, juliette gréco, annie cordy, michel muller, danièle gilbert, patrick juvet, guy
bedos, marie-paule belle.
ainsi que certains des hommes politiques que thierry le luron a immortalisés.
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