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Baudelaire
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Rien ne prédestinait un jeune Réunionnais d'origine comorienne à arpenter les rues grouillantes de la ville de New York, au début des années 80. Pourtant, son destin était déjà tout tracé vers une route connue de lui seul... Ismael est ballotté entre un père peu présent et une très jeune mère, observant des principes rigoureux hérités des ancêtres de son Ile. Pour réaliser ce rêve d'entreprendre, il faut se battre contre des obstacles multiples, administratifs, financiers, appréhender les doutes, les craintes, se protéger de l'absurdité et de l'ignorance de certains individus tenant des propos racistes. Le milieu new-yorkais n'est pas si aisé à intégrer pour ce jeune Noir des iles de l'océan Indien. Entre tristesse, peurs, frustration, souffrances physiques, il ne peut compter que sur lui-même. Parviendra-t-il à prendre son envol et s'élancer à la poursuite de son rêve ? Pourra-t-il le faire loin des siens ? Saura-t-il faire face aux difficultés ? Ismael Aboudou est né à l'ile de La Réunion. Il est un danseur-chorégraphe à la carrière internationale. Il effectue ses débuts à Paris et côtoie Maurice Béjart, Mia Frye, puis rejoint rapidement New York ou il se forme au Dance Theater of Harlem, au contact de grands danseurs comme les Nicholas Brothers ou Gregory Hines. En 1988, il fonde sa première école de danse à La Réunion, Re Dom Danse. Puis en 1995, il crée le Centre & Compagnie Ismael Aboudou de l'Océan Indien (CIAOI), très réputé aujourd'hui, et milite pour la création de la formation au diplôme d'État, encore inexistante à La Réunion.
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N'ayant eu aucun exemple de vie, j'ai désespérément cherché à comprendre qui j'étais, et pourquoi le bonheur ne m'était pas permis. Des comportements extrêmes (sexe, prostitution, alcool, tabac, drogues) ont généré en moi des déséquilibres émotionnels. Mais un jour, j'ai décidé d'obéir aux commandements de Dieu. Un joug générationnel puissant était alors rompu.« Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira. » - Matthieu 7.7, La BibleÀ l'âge de 50 ans, j'ai obéi à Dieu en quittant le péché de la fornication et tout ce qui me paraissait être la sécurité avec un homme. Ma vraie raison de vivre s'est alors éveillée, le voile de l'aveuglement s'est déchiré et les démons m'ont quittée. Ma vie a alors changé du tout au tout, et mon âme a enfin pu trouver le repos. Les peurs remontant à mon enfance ont disparu et mes désirs insensés ont pris fin. Mon identité de descendante d'Abraham, de la lignée du Roi David, adoptée dans la grande famille de Jésus-Christ n'est plus cachée à ce jour. La liberté que je croyais vivre n'était que leurre et illusion.Christine Pflieger naît en Alsace en 1966. Après une enfance solitaire dans un contexte familial compliqué, elle quitte l'école pour aller travailler à l'usine textile Lang. Elle se fait émanciper à l'âge de 17 ans, et prend son envol tel un oiseau aux ailes cassées.Très instable, Christine change d'emploi tous les deux ans : après avoir travaillé dans le textile, la restauration, des bars, ou encore dans le domaine de l'esthétique, elle participe à la démolition de maisons alsaciennes au sein de l'entreprise familiale. Au cours de sa vie professionnelle, elle exerce également ce que l'on appelle « le plus vieux métier du monde » ; un milieu qui est mis en lumière dans cet ouvrage.
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Souris, Sue Ellen : petit journal d'une infirmière
Solen Winckler
- Baudelaire
- 24 Juillet 2022
- 9791020351609
« Il y a un super jeu que ma meilleure amie m'a appris, qui me plaît beaucoup, qui consiste à dire « titre » lorsque quelqu'un prononce une phrase qui pourrait faire l'objet d'un titre de film X.Exemple :« Est-ce que tout va rentrer ? » Titre !Ou encore :« Qu'est-ce qu'elle est bonne. » Titre !Donc, lorsque ma patiente de quatre-vingt-quinze ans m'a demandé en me montrant ses comprimés : Le gros, il faut le sucer ? Je n'ai pas pu résister de lui répondre : Titre !Heureusement, elle ne connaît pas le jeu. »Née dans le Loir-et-Cher en 1981, Solen Winckler fait ses études à Amboise et obtient son diplôme d'état infirmier en 2002. Passionnée par la lecture, le sport, les voyages et les chats, elle part vivre deux ans en Martinique avant de s'installer à la Réunion en 2006, pour y rejoindre sa soeur.Elle passe son diplôme de puéricultrice en 2007 et travaille au sein de différents services. Depuis 2009, elle exerce en libéral. Côtoyant de près le monde du livre - sa soeur a créé sa maison d'édition, Austral Éditions -, Solen se lance à son tour dans l'écriture afin de raconter ses journées de travail avec beaucoup d'humour et d'ironie, sous la forme d'un journal de bord.
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Jean-Pierre LEVY, homme de marketing, devient écrivain sur le tard et nous offre sur fond d'histoire son témoignage édifiant sur la guerre d'Algérie, guerre longue, cruelle, émaillée d'une succession d'événements politiques et militaires, graves, inattendus et le plus souvent bouleversants.
Après de longues études (Sup de Co Alger, HEC Paris, Harvard Business School), ce jeune sursitaire passe six mois à l'École d'application de l'Artillerie, en sort officier puis est envoyé en petite Kabylie où il remplacera son prédécesseur, le chef de la SAS de Djoua, tombé au combat. Il y passera 30 mois. Les SAS créées en 1955 par le gouverneur général de l'Algérie de l'époque, Jacques Soustelle, dépendaient à la fois du pouvoir civil et du pouvoir militaire. Le lieutenant Lévy jonglera entre ces deux pôles ; il nous offre le témoignage émouvant d'un jeune appelé qui naviguait entre embuscades et soutien moral, économique aux populations qu'il administrait avec coeur. Il leur portait la bonne parole de la France. Ce récit fait de ce livre une lecture exceptionnelle qui rappelle ce que furent les années 1954-1962, celles de la guerre d'Algérie.
Les survivants des deux millions de soldats qui y ont participé, ainsi que leurs descendants, liront avec passion ce livre-évènement qui fera à coup sûr beaucoup de bruits dans le Landerneau des militaires et des politiques.
Jean-Pierre Levy a la joie de vivre. Son sens du dialogue, sa diplomatie, son code de l'honneur, le respect qu'il a pour les autres, font de lui un homme ouvert et attachant. Sa devise : « Il ne faut pas somnoler au clocher de son village ». Il est devenu un citoyen du monde sans pour autant renier son amour passionné pour la France. Ses trois ans de service militaire en Kabylie durant la guerre d'Algérie ont façonné son caractère et lui ont donné la force et le courage que seule l'expérience de la guerre peut offrir. Il n'hésite pas à s'impliquer là où il peut aider. -
Ce témoignage relate la vie de Julie B., que l'on pourrait qualifier d'extraordinaire. À travers un dialogue entre sa maman - rédactrice de ce livre -, sa fidèle amie Marie T., et Dominique, vous découvrirez les évènements qui ont jalonné la vie de Julie et l'impact qu'elle a eu sur celles et ceux qui ont eu la chance de la croiser...Aucun de ces faits ne peut être changé, modifié, déformé ou remis en cause, comme de multiples témoins - anonymes ou à la renommée internationale - peuvent en attester...La question n'est donc pas de savoir si vous y croirez ou non.La question fondamentale est la suivante : qu'allez-vous faire du message qui vous attend au détour de ces chapitres, et qui pourrait bien changer le cours de votre vie ?Tel un bodhisattva, Julie B. est une jeune fille qui a accepté de renoncer à tout, y compris à son corps et à ses fonctions motrices, afin de se consacrer à aider chaque être grâce à ses dons exceptionnels. Elle est notamment dotée du don d'accéder aux autres dimensions, tels que les champs akashiques.Julie a ainsi choisi une destinée hors du commun, en transcendant son statut de victime d'une encéphalite post-vaccinale pour devenir à la fois « porte-parole » des enfants différents, médium, guide, visionnaire, guérisseuse et oracle.Béatrice B., sa maman, se présente en plaisantant comme « l'humble scribe du big boss », autrement dit « la secrétaire attitrée de Julie, toujours à ses ordres ». Après s'être consacrée plusieurs années à l'organisation de Symposiums Internationaux pour la Recherche, à l'oeuvre d'intérêt général pour l'enfance handicapée et au projet d'École d'Expression par Connexion, elle s'est retirée de la vie publique pour se consacrer à l'écriture de livres dictés ou insufflés par Julie.
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Se déplacer pour avancer / Rechercher constamment une larme de bonheur, une lueur de progrès / La vie offre ses clefs, / Derrière chaque porte, un conte de fées / On fait son chemin, pas à pas, sans se soucier / Hélas, un moment fatidique vint / Nul ne peut échapper à son destin / Les langues se délient, les sentiments s'entremêlent / Les situations deviennent claires et les secrets se révèlent...
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Découvrez la vie étonnante et inattendue d'un modeste agriculteur, partageant son temps et son énergie entre sa ferme d'élevage, Paris, Bruxelles ou l'autre bout du monde, au service d'une profession solidaire et organisée. Voilà de quoi battre en brèche les préjugés ou les idées reçues de certains, qui n'ont pas suivi de près la formidable évolution de cette activité tournée vers le progrès et l'innovation. La nature et le vivant, au coeur de ce métier et de notre alimentation, concernent chacun d'entre nous. Le consensus entre tous est possible, si nous faisons place au bon sens.Aujourd'hui âgé de 69 ans, Gilbert Bros a été agriculteur durant quarante-trois ans. Engagé sur les terres de Haute-Loire et du Massif central, cet éleveur de brebis a été parmi les premiers à expérimenter, en association avec son père, la formule des GAEC. Il n'a cessé de défendre une agriculture innovante. En tant que représentant syndical au sein de la FNSEA, d'abord au niveau départemental et régional, puis aux côtés des têtes d'affiche de ce syndicat majoritaire dans la profession, cet homme de tempérament - qui a également occupé la fonction de président de la chambre d'agriculture de Haute-Loire - a été de tous les combats. Il n'a manqué ni d'idées ni d'énergie pour observer, analyser et accompagner, en France mais aussi en Europe, un monde agricole qui a vécu, des années 70 aux années 2010, d'importantes crises : quotas laitiers, vache folle, sécheresses et calamités...
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Issu d'une famille pauvre, l'auteur a dû faire preuve de beaucoup de ténacité pour apprendre les bonnes manières, le savoir-vivre et se confronter à la réalité. Après avoir essuyé plusieurs échecs, il est parvenu à franchir les étapes de la vie la tête haute, en se créant un nom, en fondant une famille et en se mettant au service des gens.Voici le témoignage d'un homme comblé qui sort de l'ombre. Tout en parvenant à rester lui-même, il écoute, partage, compatit et donne sans compter, avec un coeur « gros comme ça ».Ery Cadet est né en 1965 à Saint-Leu, sur l'île de La Réunion. Fils d'agriculteurs, il a toujours voulu aider les autres. À 20 ans, il fait son service militaire pendant quatorze mois avant de regagner son île, où il travaille comme maçon. Il crée son entreprise de bâtiment en 1990. Marié et père de quatre filles, il aime la musique et joue des rimes en devenant auteur-compositeur. Passionné d'écriture, Ery remporte en 2019 un concours de poèmes sur une radio locale ; de fil en aiguille, il décide de publier son premier recueil puis son autobiographie.
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Que dire, que conter, que composer de Louise-Marie et d'Eloi Manant ? Ils ont tous deux vu le jour à l'aube de la Grande Guerre. Ils étaient, j'ai fortement envie de le croire, forcément faits pour se rencontrer et s'unir. Ces deux êtres que je chéris tant dans ce livre de souvenirs, étaient mes grands-parents, de bien belles personnes en fait, remarquables de par leurs actions bienfaisantes, tout au long de leur illustre vie.
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Confinée à cause de la crise du coronavirus, Yvette voit ressurgir ses souvenirs de la guerre, de l'Occupation et de la Résistance. Elle évoque des événements dramatiques ainsi que des anecdotes. Fond historique et faits réels se côtoient et se mêlent au contexte actuel. Ils nourrissent sa réflexion et suscitent un questionnement chez Yvette. C'est par le truchement de sa fille que le récit prend forme.Yvette Laurens-Seus née en 1929 à Rabastens, a vécu sous l'Occupation. Elle suit des cours de dessin avec l'illustrateur Gaston Jacquement, puis avec l'école Marc Saurel. Plus tard, elle s'engage dans le soutien scolaire en tant que bénévole. Sa contribution est telle qu'elle reçoit les Palmes académiques. Elle milite également de façon active aux côtés d'anciennes résistantes à l'UFF - aujourd'hui Femmes Solidaires -, ainsi qu'au Mouvement de la Paix.Katia Seus-Walker est née en France en 1951. Elle enseigne à l'université de Washington et à l'université de Californie, puis à l'université de Toulouse où elle fait de la recherche en didactique des langues. Très tôt stimulée par le vécu et les récits de sa mère, elle s'intéresse à l'Occupation et la Résistance, au point de s'enrichir de rencontres telles que celles avec Pierre Seghers et de rédiger une thèse sur la poésie de la Résistance.
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Michel Menu, fondateur des Raiders scouts puis des Goums, a fait rêver d'aventures et d'excellence des générations de jeunes. Entre 1970 et 2015, il les a accompagnés dans ces raids goums en marchant dans le désert des Causses. Au rythme du silence et du dépouillement, il leur a donné les moyens de s'épanouir au service des autres et à la recherche du sens de la vie. C'est un précurseur, tel un Sylvain Tesson... croyant. Son message et sa mémoire continuent d'ouvrir les chemins qui redonnent la liberté de penser et d'agir.À présent, l'un de ses fils nous invite à mettre nos pas dans sa trace pour retrouver l'authenticité de son projet et à découvrir, sous le visage du chef, l'homme au coeur sensible et profondément attachant qu'il était. Fruit de nombreux dialogues père fils au cours de marches communes et puisant dans ses écrits, cet ouvrage est aussi un hommage à celui qui a confié à l'auteur la boussole dont il se servait lors de ses évasions en 1940. Elle indique encore le Nord et permet de savoir où aller, avec qui et vers qui...Chirurgien cardiaque des hôpitaux et professeur des universités, Paul Menu a consacré une partie de sa vie à aider les plus démunis dans le cadre de missions humanitaires. Avec un petit groupe et sous l'impulsion de son père, il a participé activement à la naissance des Goums et à leur développement. Lanceur goumier, il a participé depuis le premier raid goum à cette aventure et a marché avec son père pendant plus de soixante ans dans les Causses et en Vendée.En dehors d'articles médicaux et de réflexions sur la médecine humanitaire, il a écrit plusieurs articles dans les revues Goum et À la belle étoile, et publié un livre, Notre pain quotidien, aux éditions Amalthée.
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Le mazot de Fifine à Samoëns, en Haute-Savoie, a été reconverti en centre de réinsertion pour jeunes asociaux. Les éducateurs insolites sous la tutelle de leur chef de file, Jean, un ex trader reconverti, seront-ils à la hauteur du défi ? De même, les jeunes accueillis, stigmatisés ou rejetés parfois en raison de leur appartenance sociale ou ethnique et en proie à de nombreux doutes sur leur avenir saisiront-ils la chance qui leur est offerte ?
Une aventure rocambolesque pleine de rebondissements où l'auteur nous invite à réfléchir sur nos préjugés et les actes qui en découlent...
Les chemins qui mènent à l'écriture sont bien souvent la somme de blessures et d'expériences non conformes. À l'école de la république, on apprend à appliquer les consignes, à l'école de la vie on apprend à se battre - à quand une école pour apprendre la passion ? Ainsi, l'écriture est la compagne de route de Patrick LABROSSE, celle qui lui permet de trouver les mots pour le dire, les mots pour détourner les consignes, se battre, se révolter et enfin vivre sa passion...
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Être payé pendant trente ans pour s'attabler dans les meilleurs restaurants - dans les moins bons aussi - est une situation enviable. C'est en tout cas le lot de tous les critiques gastronomiques.
Après avoir évoqué sa jeunesse et la naissance de sa passion pour la bonne chère, Michel Piot raconte ce métier, qu'il pratiqua longtemps. Il évoque la cuisine et la restauration françaises dans les trente dernières années du XXe siècle, dit son amitié pour les cuisiniers et vignerons qu'il a côtoyés.
Ce livre est une souriante leçon de joie de vivre et d'optimisme : savourons la vie aujourd'hui, et si demain est encore meilleur, tant mieux !
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Hommage d'un enfant du pays à cette région, modeste, mais qui l'a fortement marqué, malgré les difficiles conditions de vie des années 1950.
Cette histoire, témoignage authentique, atteste de l'amour de son auteur pour son village natal, où les plaisirs simples et la joie de vivre exprimée en peu de mots ont toujours été d'usage.
Aujourd'hui, le village a changé, mais son esprit, et l'adoration de l'auteur, restent immuables.
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Dans cette école primaire, il y a dix classes.
Dans l'une de ces classes, douze élèves mènent de leur mieux une vie à l'équilibre fragile. Douze élèves « extras-ordinaires », portés par un groupe classe qu'ils ont intégré, pour la plupart, depuis plusieurs années. Avec eux, je vais vivre un événement d'une intensité si forte qu'il va bousculer ma vie, comme la leur, et s'ancrer dans nos mémoires.
On dit que dans les grands jours les enfants sont des hommes. Venant de ces enfants-là, c'est époustouflant !
Le jardin d'Anaël est un livre très particulier. Comme un besoin incontournable, je devais revenir sur un événement vécu dans l'une de mes classes d'enfants en situation de handicap, un événement d'une intensité si forte qu'il est inscrit à jamais en nous.
Écrire tout d'abord comme une thérapie pour me permettre de prendre du recul, ouvrir mon champ de vision, mieux appréhender et comprendre le ressenti et les réactions de chacun.
Écrire pour faire connaître ces enfants « extras-ordinaires ».
Écrire pour partager ce moment de vie, car partager c'est aider à comprendre et à se construire.
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Dès l'adolescence, alors que la vie ne devrait être qu'insouciance, rêves et bonheur, Camille ressent les premières douleurs d'une maladie qui lui sera finalement diagnostiquée à l'âge de 16 ans.
C'est brutal, inimaginable que l'on puisse lui annoncer qu'elle est atteinte d'une polyarthrite rhumatoïde, cette étrange maladie, inconnue dans sa famille, d'autant que les rhumatismes, dans sa tête, ce sont des histoires de vieux. Preuve en est, elle est la seule gamine à traîner dans les salles d'attente chez les spécialistes.
Tout s'enchaîne très vite, la douleur est omniprésente et les poussées inflammatoires violentes au point qu'elle se retrouve incapable de se coucher, de se lever ou de tenir un verre ou une fourchette pour s'alimenter. Elle craint une descente aux enfers mais elle est forte. Son immense courage domine dès que les douleurs s'estompent.
Avant tout ça, elle était sportive, et, très inspirée par les aventures de son idole, Nicolas Vanier, devenu son ami, elle décide de faire un périple dans le Vercors avec sa jument « Belle ». En parallèle, elle crée l'association « Bell'espoir » pour récolter des fonds pour la recherche médicale sur les maladies rhumatismales inflammatoires.
Ce voyage, ce défi, c'est sa première victoire contre la maladie. Chaque soir elle écrit le récit de la journée pour en faire ce livre vendu aujourd'hui par l'intermédiaire de son association « Bell'Espoir » au profit des tous les malades.
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« Prête à rencontrer une femme qui n'a rien à voir avec soi-même, prête à ce que le CNAOP m'informe que celle-ci ne souhaite pas que son identité me soit révélée. C'est bien gentil, comment sait-on que l'on est prêt ? » En la confiant à l'adoption, par ce choix du secret, la mère biologique de Gaëlle a marqué un refus et un souhait pour la vie de son enfant. Et maintenant, trente années plus tard, Gaëlle veut savoir. Mais elle doit savoir qui elle est avant de savoir d'où elle vient. Étrange ? Mais finalement, n'est-ce pas ça le plus important ? Gaëlle Pasquier De Solan est avocate d'affaires au barreau de Paris et lobbyiste. Née en banlieue parisienne puis adoptée encore bébé, le temps fut venu pour elle, à 30 ans, d'entamer les recherches sur ses origines. En examinant comment elle était devenue adulte, en analysant les étapes de sa construction d'identité tout en étant curieuse d'analyses et de témoignages sur ce sujet, elle eut la volonté de partager un peu d'elle. Au fil de cette introspection sont apparus des crises, des réconciliations, le pardon, de l'amour et l'acceptation de son histoire, de son entourage et d'elle-même.
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On a tous une vision différente de la beauté. Beaucoup d'entre nous se fient aux standards érigés par la société et tentent par tous les moyens de modeler leur corps en fonction de ces critères. D'autres font partie d'une catégorie à part. Il s'agit des personnes obèses et également de toutes celles qui se sentent mal dans leur peau. Cet ouvrage traite de l'obésité à travers les yeux de personnes qui la vivent au quotidien mais s'adresse à tout un chacun, car, que l'on soit en surcharge pondérale ou non, on connaît forcément une personne en surpoids, et/ou mal dans sa peau, dans son entourage. Mais avant tout, ce livre présente la démarche que j'ai mise en place pour apprendre à m'aimer en dépit de tous les regards, propos blessants, situations humiliantes et stéréotypes, et atteindre l'harmonie entre mon corps [...] et mon esprit [...], car nous sommes TOUS exceptionnels au-delà de nos différences ! Fille unique, l'auteure naît en 1984 en Guadeloupe dans une famille monoparentale matriarcale. Mère de deux enfants, elle enseigne les lettres et l'anglais dans un lycée professionnel depuis dix ans. Devenue obèse à l'âge de six ans, elle atteint neuf ans plus tard le stade d'obésité morbide. Malgré ses rondeurs et les épreuves, cette passionnée d'écriture adepte du carpe diem appréhende la vie comme un défi à relever.
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Chaque être humain sur terre peut commettre des erreurs au cours de sa vie, mais nous devrions nous rendre compte que tout le monde a le droit à une deuxième chance sans se faire blâmer. De plus, ce qui reste particulièrement dommage est le fait qu'en 2019 nous devons encore faire face à des critiques selon le style vestimentaire que nous pouvons adopter ou encore les choix de vie que nous pouvons faire. Et beaucoup de personnes vivent en fonction des attentes de notre société pour ne pas faire face à cela. Nous pouvons sortir des normes en quelque sorte mais il faut en trouver la force. Âgée de dix-huit ans, l'auteure a traversé divers épisodes douloureux depuis sa naissance et n'a pas su tout de suite apprendre de ses erreurs. Longtemps prisonnière d'un cercle vicieux, elle s'est alors consacrée à l'écriture, seule échappatoire à sa situation compliquée. Grâce au pouvoir des mots, elle a surmonté ses difficultés et espère à présent offrir un précieux témoignage aux victimes des coups du sort et autres blessés de l'existence.
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Mission UNTAC 1992... ; mémoires d'un gendarme français sur les traces des Khmers Rouges
Alexandre Zanieri
- Baudelaire
- 1 Mars 2020
- 9791020328038
Avril 1992. Alex, un gendarme français, part pour sa première mission en Asie sous le mandat des Nations Unies. Il s'apprête à porter le béret bleu, symbole de la paix. À cette époque, nul ne sait ce que ces gendarmes partent faire au Cambodge... Le nom de cette mission: UNTAC (United Nation Transitional Authority Cambodia). Dans la jungle étouffante de la région de Kampong Cham, Thea Rith, un jeune Khmer rouge en lutte pour sa liberté, se bat contre le gouvernement, l'armée, la police, les animaux, les éléments, la faim, la soif. Son combat, mené avec ses frères d'armes, se déroule dans la clandestinité. Ce récit chronologique et authentique de longs mois passés au Cambodge raconte la vie de deux êtres que tout sépare. Leur rencontre permettra-t-elle d'unir leurs forces pour que la paix revienne ? Alexandre Zanieri est un ancien commandant de gendarmerie, sportif exigeant, marathonien et traileur. Pour lui, le sport est devenu comme une drogue. Mais courir derrière quoi ? Derrière qui ? Une première mission à l'étranger, au Cambodge, bouleverse sa vie, ébranle toutes ses certitudes, ses croyances. À partir de cet instant, il n'a plus qu'une envie: repartir toujours et encore. D'autres missions ont suivi, toutes enrichissantes, apportant çà et là dangers, aventures et découvertes. Ses missions, son sport, ses voyages à travers le monde, il peut tout concilier. Sa devise:"Toujours aller voir derrière la colline"
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Découvrez le récit d'un médecin libéral spécialiste, depuis ses études jusqu'à sa retraite. Un parcours parsemé de joies et de peines, d'anecdotes, avec des moments de doutes et de remises en question, mais également de colères devant la médiatisation des affaires médicales et face à l'évolution des contraintes de plus en plus oppressantes imposées par les tutelles et les institutions. Cela n'a pas été un long fleuve tranquille, mais l'auteur a tout de même été un gastro gâté. Après des études de médecine à Paris, François Sevenet est nommé interne des hôpitaux, puis chef de clinique dans un CHU de province. Après des années passées en hôpital public, il s'installe en libéral en tant que hépato gastroentérologue, et exerce durant plus de trente ans. À la fin de sa carrière professionnelle, il a souhaité écrire ce livre pour saluer et remercier ses collègues, partager son expérience avec les plus jeunes et surtout les informer de l'évolution de la médecine avec ses bons et mauvais côtés - en particulier ses multiples contraintes -, la médecine demeure-t-elle l'un des plus beaux métiers du monde...
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Ce témoignage conte l'histoire d'un clan familial, une "tribu". Il se déroule aux XIXe et XXe siècles en Roumanie, un pays oriental européen entré tardivement dans l'ère moderne, qui tente de se dynamiser et de s'occidentaliser mais qui s'égare, trébuche et se retrouve dans le "camp de l'Est". C'est l'histoire d'une fille, l'héritière unique de la "tribu". Sa naissance coincide avec l'instauration du communisme en Roumanie. Elle vit et grandit dans un monde double et antinomique : le monde d'avant, porté par les siens, et le présent, régit par la dictature du prolétariat. Despina Tomescu grandit en Roumanie, avant de passer la seconde moitié de sa vie en France. Dans son pays natal, elle exerce en tant qu'historienne de littérature, avant de devenir journaliste à Radio France Internationale en France. En 1988, elle publie avec Catherine Durandin, La Roumanie de Ceausescu (Éditions Guy Epaud) avant de faire paraitre en 2019, La Roumanie, histoire d'une identité (L'Harmattan).
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Pazapa ; à la rencontre de l'autre ; à la découverte de soi
Arnaud Terlinden
- Baudelaire
- 1 Novembre 2020
- 9791020336224
Traversant une crise de vie plutôt mal gérée, Arnaud décide impulsivement de partir marcher. Marcher seul, loin, longtemps et dans la douleur. Tel un lent rite initiatique, au fil des expérimentations et des rencontres, ce concentré d'épreuves se transformera très progressivement en un volontariste exercice de vérité qui lui permettra de découvrir la beauté du monde, la joie absolue, la lumière et la force qui l'habitent ainsi que le chemin vers l'authenticité et la paix intérieure. Fondamentalement, dans un esprit de partage humaniste, ce témoignage sincère et subtil parle de résilience, de renaissance, d'éveil et d'espoir. Arnaud Terlinden est un Bruxellois de naissance, de résidence et de coeur. Père de deux enfants, agent immobilier, spontanément attiré par le beau, il est davantage féru d'art contemporain que de littérature. Jusqu'à ses 48 ans, il croyait connaitre une existence tranquille avec, en apparence, bien peu de nuages à l'horizon. Lorsque l'orage de la vie gronda et tonna, il se retrouva bien mal préparé à y faire face. Particulièrement désarçonné par cette crise personnelle, il décida d'entreprendre un long travail de compréhension et de reconstruction dont ce livre est le témoignage sincère. Cette sincérité est d'autant plus remarquable que le terreau naturel de l'auteur, plutôt conventionnel, incite peu à la remise en question et à l'authenticité.
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En ce printemps 2002, notre vie se déroule tranquillement au sein de notre famille très unie et pleine d'amour. Et soudain, Clément, notre troisième enfant alors âgé de 9 ans, en bonne santé et plein de vie, sombre à la suite d'une simple fièvre dans une encéphalopathie épileptique aiguë.Après avoir été sauvé de la mort, Clément continue à faire de nombreuses crises d'épilepsie, plus d'une dizaine par mois. Ces crises détruisent tout sur leur passage et laissent derrière elles souffrances et désolation. Comment survivre à ce tsunami ? Comment vivre avec l'épilepsie ?En France, près de six cent mille personnes sont épileptiques, un tiers est pharmaco-résistant. Ils sont cinquante millions dans le monde.Côme Hoppenot est âgé de 58 ans, marié et père de quatre enfants. La vie n'a pas toujours été tendre avec lui, après les départs brutaux et très précoces de ses parents et de son frère aîné.À l'âge de 9 ans, Clément, son troisième enfant, est touché par l'épilepsie - une maladie cachée, sournoise et destructrice - qui finit par l'emporter à l'âge de 24 ans après de longues années de combat quotidien.Aujourd'hui, il oeuvre pour que l'épilepsie soit reconnue grande cause nationale et passe ainsi de l'ombre à la lumière. Ce livre est une première étape dans ce combat qu'il souhaite mener afin de faire connaître cette maladie, pour Clément et pour tous ceux qui sont touchés par ce mal et leurs familles.