Les trois secrets d'Alexandra Tome 2 ; un violon dans la nuit

,

À propos

Voici le second titre de la série Les 3 secrets d'Alexandra.
Après Il faut désobéir qui évoquait Vichy et la collaboration, Un violon dans la nuit parle aux enfants des camps et de la déportation.
Alexandra va réussir à ce que sa tante, violoniste, ose enfin poser des mots sur ce qu'elle a vécu à Auschwitz. Elle lui raconte notamment comment son violon, emporté avec elle, brisé dans les convois, est malgré tout demeuré pendant sa déportation sa seule chance de survie. Un beau lien aussi avec ses co-détenues tziganes. Alors que l'humiliation était quotidienne, elle reconstituait concertos et symphonies dans sa tête, les yeux fermés, les poings serrés. Elle a tenu bon mais à son retour, elle a préféré se consacrer au piano, pour la musique, et au silence pour les mots. Alexandra va-t-elle parvenir à poser à nouveau un violon sur l'épaule de la vieille dame ?
Comme dans les autres titres de la collection, un fil historique positionne les faits en parallèle au déroulement de la fiction. Après L'Esclave qui parlait aux oiseaux, Zappe la guerre, Midi pile l'Algérie, et Il faut désobéir, un livre qui devrait lui aussi faire événement.


Rayons : Jeunesse > Livres illustrés / Enfance (+ de 3 ans) > Albums


  • Auteur(s)

    Didier Daeninckx, Pef

  • Éditeur

    Rue du monde

  • Distributeur

    Harmonia Mundi

  • Date de parution

    29/10/2003

  • Collection

    Histoire D'Histoire

  • EAN

    9782912084859

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    32 Pages

  • Longueur

    26.7 cm

  • Largeur

    19.5 cm

  • Épaisseur

    0.7 cm

  • Poids

    285 g

  • Lectorat

    3/6 ans

  • Diffuseur

    Harmonia Mundi

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Didier Daeninckx

Didier Daeninckx est né en 1949 à Saint-Denis. De 1966 à 1982, il travaille comme imprimeur, animateur culturel, puis journaliste dans plusieurs publications. Depuis Meurtres pour mémoire, il a écrit une quarantaine de livres - dont La mort n'oublie personne, Métropolice, Zapping ou Cannibale - qui sont tous des chefs-d'oeuvre.

Pef

Né en 1939, fils de maîtresse d'école, Pef a vécu toute son enfance enfermé dans diverses cours de récréation. Il a pratiqué les métiers les plus variés, comme journaliste ou essayeur de voitures de course. A trente-huit ans et deux enfants, il dédie son premier livre Moi, ma grand-mère... à la sienne, qui se demande si seulement son petit-fils sera sérieux un jour. C'est ainsi qu'il devient auteur-illustrateur pour la joie des enfants et invente en 1980 le prince de Motordu, personnage qui devient rapidement une véritable star. Lorsqu'il veut raconter ses histoires, Pef utilise deux plumes, l'une écrit et l'autre dessine. Depuis près de vingt-cinq ans, collectionnant les succès, Pef parcourt inlassablement le monde entier à la recherche des glaçons et des billes de toutes les couleurs, de la Guyane à la Nouvelle-Calédonie, en passant par le Québec ou le Liban. Il se rend régulièrement dans les classes pour rencontrer son public à qui il enseigne la liberté, l'amitié et l'humour.

empty